La Rédaction
Démocratie Participative
16 décembre 2024
Les auteurs de graffitis devraient être automatiquement fusillés par un peloton d’exécution
L’Azerbaïdjan est un pays qui gagne à être connu.
Les relations très tendues entre la France et l’Azerbaïdjan ont desservi Théo Clerc. Cet artiste de street art reconnu a vu lundi sa peine de trois ans de prison confirmée en appel, a annoncé son avocat à l’AFP. Son forfait ? Un simple tag sur un métro de Bakou, la capitale de ce pays du Caucase et… sa nationalité.
Il n’y a pas de « street art », uniquement du gribouillage négroïde.
Cornbread, auteur des premiers graffitis en 1967
Cette horreur est une pure attaque des noirs contre la civilisation.
Il suffit de voir l’état des villes françaises, notamment l’IDF, pour mesurer les ravages.
C’est une agression visuelle constante contre l’homme blanc.
« La Cour d’appel a confirmé la décision du tribunal de première instance d’emprisonner le citoyen français Théo Clerc pendant 3 ans en vertu de l’article sur le vandalisme », a indiqué Eltchine Sadygov. Âgé de 38 ans, Théo Clerc a été condamné le 10 septembre à trois ans de détention pour un graffiti dans le métro alors que ses deux coaccusés, un Néo-Zélandais et un Australien, ont été condamnés, pour les mêmes faits, à une simple amende. « L’injustice est réelle », déplorait il y a quelques jours son frère, Charlie Clerc.
Le ministère français des Affaires étrangères a protesté à plusieurs reprises contre sa détention jugée « arbitraire » et sa condamnation qualifiée d’« inéquitable ». Pour Margot Fontaine, l’avocate du graffeur, son client est un « otage diplomatique », « pris au piège » des « mauvaises relations entre la France et l’Azerbaïdjan, qui ne font que se détériorer ».
La crasse mentale qu’il faut avoir pour se rendre dans un pays et se dire : « Je vais saloper leur métro avec mes tags dégueulasses ».
L’objet – immonde – du crime
Ce fils de pute mérite dix ans de camp de travail.
Les tensions entre Paris et Bakou se sont exacerbées depuis que l’Azerbaïdjan a repris le contrôle du territoire du Haut-Karabakh à majorité arménienne à l’issue d’une offensive éclair en septembre 2023, qui a provoqué le déplacement de plus de 100 000 habitants. Bakou reproche le soutien de Paris à l’Arménie tandis que les autorités françaises accusent l’Azerbaïdjan d’une ingérence concernant ses territoires d’outre-mer, que Bakou nie.
Ni le président Emmanuel Macron ni un membre du gouvernement français ne se sont rendus à la COP29 pour le climat en novembre à Bakou, que l’Azerbaïdjan accuse Paris d’avoir appelé à boycotter, ce que la France récuse.
Dans le même temps, un autre Français, Martin Ryan, est actuellement détenu en Azerbaïdjan, et accusé d’espionnage. Des accusations « catégoriquement » rejetées par Paris. Un troisième Français se voit interdit depuis juillet de quitter l’Azerbaïdjan, une mesure qualifiée d’« arbitraire » par la diplomatie française, qui demande sa levée.
L’Azerbaïdjan fait l’oeuvre de Dieu.
Persécuter les punks à chiens français est une oeuvre sainte, peu importe le contexte.
Espérons que les geôliers azerbaïdjanais soient particulièrement brutaux et cruels.
Théo Clerc
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