Chatte douloureuse à Poitiers : la maire féministe annonce jusqu’à 24 jours de vacances gratuits pour les 2000 femmes fonctionnaires de la ville

La Rédaction
Démocratie Participative
20 décembre 2024

À Poitiers, les femmes auront droit à 3 semaines de vacances supplémentaires par an offertes par tous les contribuables.

C’est l’égalité homme-femme.

Libération :

La ville de Poitiers, dirigée par les Écologistes, a annoncé la mise en place d’un congé menstruel dès le 1er janvier 2025 pour ses 2 000 agentes.

Un dispositif détaillé ce lundi 16 décembre, à l’occasion de la présentation de son rapport annuel sur l’égalité professionnelle des agentes de la collectivité de Poitiers. A l’aide d’un certificat médical, les employées de la collectivité pourront prendre un à deux jours de congé menstruel chaque mois, en cas de règles douloureuses voire d’endométriose.

«Chaque agente pourra en bénéficier sans impact sur sa rémunération car il n’y aura pas de jour de carence, sans impact sur sa carrière, et sans stigmatisation possible puisque cette autorisation spéciale d’absence est noyée parmi les autres, seul le médecin en connaissant la raison», a expliqué Stéphane Allouch, adjoint au personnel et au dialogue social à la ville de Poitiers, interrogé par France Bleu Poitou.

Afin de lever le tabou autour des règles, la ville a également organisé des ateliers avec des agentes de la collectivité. «La première question qui s’est posée pour elles, c’est de savoir qui allait faire leur travail si elles sont absentes, a rapporté la conseillère municipale à l’égalité des droits Alexandra Duval. Il faut déconstruire cela. Les femmes ont droit d’avoir des conditions de travail adaptées.»

Ils vont déconstruire, mais ça ne répond pas à la question : qui va bosser à leur place ?

La réponse est simple : personne.

Parce qu’elles ne foutent rien pour commencer.

Celles qui ont posé cette question avaient peur de se faire réquisitionner pour remplacer leurs collègues, mais évidemment ce n’est pas à l’ordre du jour.

Poitiers suit l’exemple d’autres municipalités. La première d’entre elles, Saint-Ouen-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), a été la première ville française à mettre en place le congé menstruel, proposant jusqu’à deux journées par mois et sans carence à ses administrées. L’expérimentation avait été lancée le lundi 27 mars 2023. Depuis, d’autres collectivités ont pris le train en marche. C’est le cas de l’Eurométropole de Strasbourg, qui permet, depuis le 1er septembre 2024, à ses 3 500 agentes de bénéficier d’un «congé de santé gynécologique», soit treize jours d’absence exceptionnelle par an. Il y a deux mois, le 17 octobre, ce fut au tour de la commune de Barentin, en Seine-Maritime, de proposer à ses employées ce congé particulier. On peut également nommer Lyon, Nantes, Châlette-sur-Loing dans le Loiret, Orvault en Loire-Atlantique ou encore Abbeville dans les Hauts-de-France.

Mais ce congé menstruel ne dépend pas du simple bon vouloir des mairies. Le 20 novembre dernier, la ville de Plaisance-du-Touch en Haute-Garonne, son centre communal d’action sociale ainsi que la communauté de communes du Grand Ouest Toulousain se sont heurtés à une réalité juridique : l’absence d’un cadre législatif, alors que le préfet local avait saisi le tribunal administratif pour demander l’annulation du dispositif. «Le tribunal estime que ces collectivités territoriales n’ont pas le pouvoir de prendre ce genre de décisions en l’absence de dispositions législatives ou réglementaires», avait rapporté France Bleu Occitanie.

À Poitiers, comptez 1,5 jour pour chacune des 2000 fonctionnaires de sexe féminin de la commune concernées par la mesure, soit 3000 jours d’absence mensuels.

Si on estime que ces fonctionnaires font semblant de travailler 7 heures par jour, cela représente 21000 heures de travail qui seront facturées aux contribuables chaque mois. Pour 11 mois (hors vacances d’été), c’est 230000 heures d’absence rémunérées.

Le salaire moyen d’un fonctionnaire territorial est de 2200 euros, auquel il faut ajouter les diverses cotisations à la charge de l’État et de ses collectivités, soit au moins 3000 euros. Une heure de travail d’une de ses gonzesses coûte au strict minimum 21 euros.

21 euros x 7 heures x 3000 jours x 11 mois = 4,8 millions d’euros par an.

Le budget annuel de la ville en 2024 est de 221 millions d’euros. Cette histoire d’ovaires douloureux à dormir debout va bouffer à elle seule 2% du budget de fonctionnement de la ville.

Oubliez la gangue du marketing féministe, c’est de l’achat de votes organisé par la traînée écologiste locale. Les 2000 garces qui vont bénéficier de ces 3 semaines de vacances supplémentaires vont bien évidemment voter pour cette tarée de maire en 2026.

Qui aurait pu croire qu’élire une dinde à la mairie se transformerait en gabegie généralisée ?

À un moment donné, quand on fait tout pour, on mérite le djihadisme.

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