La Rédaction
Démocratie Participative
21 décembre 2024
J’avais remarqué cette nana sans y prêter plus que ça attention. La seule chose que j’avais relevé, c’était sa qualité raciale qui tranchait avec la boue infra-humaine qui zone habituellement sur Médiapart.
Du coup, son exposition récente a permis d’expliquer le pourquoi du comment.
La journaliste Paloma Moritz dégoûtée que le service public ne soit pas encore plus imperméable à la droite : « C Ce Soir ont recruté quelqu’un du Figaro, ils essaient d’avoir un quota… Il y a une petite musique qui monte »pic.twitter.com/l8nYFefiqs
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C’est une aristocrate et ça se voit physiquement.
On voit immédiatement la différence avec des cageots de la droite populacière qui tentent péniblement de sortir du caniveau.
Contrairement à la plèbe, les aristocrates ont une mémoire longue et un sens aigu de la préservation. Ils n’ont pas traversé les siècles, les guerres, les révolutions par hasard.
C’est un continent inconnu pour les plébéiens.
Dans le meilleur cas, un paysan de pure race comme vous et moi pouvons savoir tout au plus que nos ancêtres travaillaient un lopin de terre dans tel ou tel village au 16e siècle. Ces gens-là ont fait la France, littéralement, et peuvent savoir où bataillait tel ou tel aïeul en 1250.
2) 🏡 Dès 6 ans, Paloma devient actionnaire d’une SCI détenant un immeuble cossu dans le 16e arrondissement de Paris. Certains appellent ça « le mérite », d’autres y voient un simple bon départ dans la vie. Une chose est sûre : Paloma n’a pas attendu longtemps pour s’investir.
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3/ 🎓 Les études ? Sciences Po Paris, bien sûr. Une réussite attribuée à son talent et sa détermination, et certainement pas à son grand-père, Emmanuel de la Taille de Lolainville. Ce journaliste et producteur illustre (décédé en 2021) l’a pourtant encouragée.
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4/ 💼 En 2018, Paloma élargit son empire en devenant présidente et actionnaire majoritaire de la SAS PALOMA, un cabinet de conseil créé pour elle par Patrice Allain-Dupré. Ce millionnaire breton controversé est aussi connu pour ses projets… particuliers. (On vous raconte 👇) pic.twitter.com/ysItUH4eNs
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5/ 🏝️ Patrice Allain-Dupré a racheté une île bretonne pour y lancer un projet catho-écolo, ponctué de litiges judiciaires. Mais ce n’est pas tout : il dirige ESL & Network, un groupe de conseil au service de nombreux pays pétroliers du Golfe. pic.twitter.com/ppoNsTub1H
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6/ 🌍 Paloma, fidèle à ses valeurs bien placées, affirme distinguer ses soutiens de ses combats. Une aptitude précieuse, surtout lorsque ses relations incluent des figures liées au Qatar et aux monarchies pétrolières. Être héritière, ça s’apprend… et ça se gère.
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7) Héritière comblée du fabricant de matelas Treca (vendu en 1990 pour 200M$), elle n’a jamais manqué du confort… qu’elle mérite.
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L’aristocratie n’est pas premièrement un rang social, mais un rang racial. Il a été formé par les conquérants germaniques à leur arrivée en Gaule et partout où ils se sont établis à la chute de Rome. Tout comme le système de castes en Inde, la classe guerrière conquérante entendait préserver son sang en érigeant une barrière biologique entre elle et les populations conquises, jugées de valeur inférieure, afin de préserver les qualités de direction qui assuraient sa position.
Même aujourd’hui, les véritables aristocrates, tous originellement de sang germanique, préfèrent se marier avec un aristocrate de n’importe quel pays d’Europe plutôt qu’avec un « compatriote », tout simplement parce qu’un aristocrate de sang germanique de Hongrie ou de Grèce est leur véritable compatriote. C’est un legs de la vieille mémoire tribale germanique.
Avec les siècles, la conscience raciale s’est progressivement érodée pour ne plus être qu’une conscience de classe et d’intérêts. Un tournant dans cette érosion a été la vénalité des charges qui a permis à la bourgeoisie autochtone de pénétrer les rangs de la noblesse d’épée, de sang germanique, et d’en diluer la conscience raciale, mais aussi les qualités. Cette bourgeoisie anoblie a joué un rôle très important dans l’agitation démocratique et la destruction de la monarchie de sang franc en 1789.
Robespierre en faisait partie.
Ces faux aristocrates qui avaient acheté leur particule étaient à la fois admiratifs et jaloux de ceux qu’ils cherchaient à imiter. Pour renforcer leur pouvoir au détriment de l’aristocratie, ils excitaient les sentiments démocratiques de la plèbe tout en sabotant de l’intérieur l’Ancien Régime, devenu incapable de se défendre.
De nos jours, à l’heure de révolution raciale, ce sont les métis qui remplissent cette fonction d’agitateurs avides contre les Blancs en France. On ne compte plus les quarterons ou moitiés de machin qui flattent le ressentiment des races inférieures pour s’en servir de masse de manoeuvre contre les classes supérieures blanches.
La France Insoumise a cette particularité d’allier conjoncturellement la « noblesse de robe » raciale que sont les Blancs qui s’estiment injustement relégués par la classe blanche dominante et le tiers-état allogène, majoritairement musulman.
Ce courant montant en puissance, il n’y a rien d’étonnant à voir des aristocrates se greffer à l’aventure. Leur sens de l’adaptation les y prédispose et leur entregent les rend utiles aux agitateurs. Durant la révolution française, ceux qui ont abattu l’Ancien Régime étaient tous de grands aristocrates, comme Beaumarchais ou Philippe « Égalité » d’Orléans. Ils savaient que le système était condamné et ils préféraient prendre la tête de la révolution démocratique pour superviser les nouvelles règles du jeu plutôt que d’attendre de se faire assassiner dans leurs lits.
Outre la survie, l’autre problème des aristocrates est de tromper l’ennui. C’est pour ça qu’on les retrouve à se passionner pour les causes de l’époque les plus convenues. En se mêlant aux agitateurs de la roture, ils essaient aussi d’échapper aux autres aristocrates qu’ils détestent paradoxalement. En tant que tribu, c’est une famille élargie. Ils sont ensemble depuis toujours et s’insupportent depuis toujours, mais ils savent aussi qu’ils doivent leur survie à leur cohésion de groupe.
Ces gens sont riches, éduqués, habitués à se mouvoir socialement dans un monde dont ils connaissent les règles et ceux qui les font. Ils surclasseront toujours des Delogu ou des Ruffin, mais également les Le Pen et Bardella, et ne les redoutent pas.
Ceux qui pensent que brandir le statut social de Paloma sera de nature à lui nuire dans les cercles de gauche n’en connaissent pas la casuistique. Appartenir à l’aristocratie n’a jamais été un obstacle à la participation aux cercles révolutionnaires, y compris marxistes. Pour le marxisme, le prolétariat à proprement parler est trop accaparé par la production pour développer une conscience de classe sophistiquée. C’est la classe qui profite de l’accumulation du capital qui a le temps d’étendre son champ de conscience en s’éduquant.
Appartenir à une classe n’est pas un déterminisme, mais une condition. Les grands bourgeois ou aristocrates qui rallient la cause du marxisme démontrent qu’ils sont conséquents idéologiquement, faisant passer, du moins sur le papier, leur conscience révolutionnaire avant leurs intérêts de classe. Paloma marque donc des points que peu de gens peuvent marquer dans les cercles de gauche en jouant les révolutionnaires de salon.
En outre, plus prosaïquement, grâce à ses relations, elle peut nourrir quelques parasites bien placés à gauche.
En conclusion, retenons l’essentiel.
Paloma a semble-t-il de gros seins, seul critère d’évaluation pertinent quand on parle des femmes.
Les hommes qui s’intéressent sans rire à ce que dit ou pense une femme sont soit des homosexuels, soit des types qui n’en ont jamais touché.
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