La Rédaction
Démocratie Participative
04 décembre 2024
N’oubliez pas que les femmes sont aussi fortes que les hommes, mais que les hommes doivent les aider en tout sinon c’est injuste.
Actu.fr :
Les faits remontent à quatre ans, mais pour Lucie*, c’est presque comme si c’était hier. Mère de quatre enfants, elle en avait à l’époque deux à charge, elle vivait dans une maison à Dieppe (Seine-Maritime) jusqu’à ce que son monde s’écroule. Une séparation avec son conjoint, le père de ses enfants, et le début d’une grande galère.
« Je me suis retrouvé en difficulté financière avec le départ du père de mes enfants. J’ai dû alors quitter ma maison, car je n’avais plus les moyens de rester », témoigne-t-elle.
Lucie se rapproche alors d’un bailleur pour obtenir un logement social. C’est chose faite. Elle vit désormais dans un autre quartier de la cité aux quatre ports. Problème, le confinement est en vigueur à l’époque, les procédures d’entrer en appartement sont simplifiées, l’état des lieux est signé rapidement.
Un an et demi plus tard, des problèmes de voisinage contraignent Lucie à partir, c’est le début des problèmes : « Je n’étais pas d’accord avec l’état des lieux de sortie, il m’accusait d’avoir abîmé le lino de la cuisine, je n’étais pas d’accord pour payer ».
La pression du bailleur est maximale. « Ils m’ont emmenée chez l’huissier. Je me suis retrouvée avec énormément de problèmes financiers une fois seule. Il a fallu trouver un arrangement, c’était compliqué », raconte-t-elle.
Pour Lucie, son statut de mère célibataire a contribué à cet excès de zèle de la part de son propriétaire : « Quand nous avons besoin d’un coup de main, on est toute seule. Je pense qu’avec un compagnon, tout se serait réglé plus facilement ».
C’est de votre faute
Pour elle, le système n’est pas fait pour les mères célibataires : « Il faut gérer les enfants, les problèmes d’argent et en plus essayer de comprendre la loi… C’est très difficile de tout cumuler et de se battre contre le système dans ce cas-là », soupire Lucie.
En 2024, le système est entièrement réorganisé autour des femmes et de leur hypergamie, raison pour laquelle le divorce s’est massivement généralisé en premier lieu. La rupture anthropologique de la pilule et du salariat féminin a été le clou dans le cercueil de la démographie française.
La loi libéralisant le divorce au bénéfice des femmes a été votée en 1884 par le juif d’extrême-gauche Alfred Naquet. D’aucuns dirent de lui qu’il rendit la caricature antisémite obsolète.
Le taux de divorce baisse depuis quelques années parce que les femmes savent qu’il ne sert plus à rien de se marier pour obtenir les mêmes bénéfices lors du divorce. La loi leur permet de racketter leurs victimes masculines avec autant de succès hors mariage.
Sans parler des dispositions sociales votées depuis 50 ans pour permettre aux femmes seules de vivre aux crochets de l’État.
Comme toujours avec les femmes, leurs actions ne peuvent pas entraîner de conséquences. Truquer le système pour se défiler et ne pas payer l’addition relève pour elles de l’évidence morale.
Les mères isolées sont la production logique de cette société féministe et elles font désormais valoir leur droit inaliénable à un train de vie supérieur à leurs victimes. Il appartient au pigeon éternel qu’est le contribuable français – un homme blanc hétérosexuel – de payer le logement de *Lucie*, d’une façon ou d’une autre.
Ce constat, Magalie* le tire aussi de sa propre expérience. Cette mère de deux enfants dont un fils handicapé habite une maison en région dieppoise depuis mars 2022.
« Depuis un an à peu près, je fais face à de gros problèmes de moisissures et d’humidité », note-t-elle. Elle en a parlé au propriétaire, un privé, lui demandant notamment de faire les travaux nécessaires : « Il m’a dit que c’étaient des conneries ». Un problème de plus à gérer pour cette mère célibataire.
« J’ai contacté une assistante sociale pour faire une reconnaissance d’habitat dégradé, la mairie de la commune dans laquelle j’habite est intervenue, mais le propriétaire a continué à nier », poursuit la jeune femme.
Un problème n’arrivant jamais seul, le propriétaire a également décidé d’augmenter le loyer, de 570 à 600 €. « Pour avoir un compte rond, m’a-t-il dit », assure Magalie. Une hausse de loyer combinée à des charges importantes comme une facture d’électricité élevée : « On m’a demandé 1 700 € de régularisation et je ne peux pas payer ».
Même si elle est restée en bons termes avec son ex-compagnon, Magalie s’est retrouvée en difficultés financières : « Je pense que le propriétaire se permet tout ça parce que je suis seule. Même si le père de mes enfants est toujours présent pour eux, mine de rien, il ne vit pas dans la maison ».
Si seulement ce mec pouvait régler toutes les embrouilles, mais sans avoir son mot à dire sur quoi que ce soit, ce serait l’idéal.
En somme, qu’il soit légalement tenu par l’État de tout superviser, mais sans rien en retour, à commencer par l’once d’une autorité sur *Magalie* et son mode de vie désastreux.
L’état-providence est l’instrument parfait pour réduire les hommes en esclavage grâce à l’arsenal coercitif étatique. Et nous sommes encore très loin d’avoir atteint les capacités d’action de l’État dans ce domaine, surtout avec les technologies qui ne cessent d’émerger.
Imaginez que ce pourrait faire un état féministe une fois que la monnaie serait complètement numérisée ? Votre salaire serait instantanément ponctionné par votre ex de sangsue, chacune de vos dépenses, jusqu’au moins centime, connue des juges des affaires familiales (toutes des femmes) et du fisc.
Au moindre écart, vous seriez déconnecté du reste de la société, brutalement majoré d’une sanction financière compensatoire, et bien sûr fichés au registre des salopards.
Ce n’est qu’une question de temps.
En 1983, le prophète avait tout dit.
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