La Rédaction
Démocratie Participative
19 décembre 2024
Grande tarlouze veut faire tuer de nombreux goyim
Depuis le temps que nous l’annonçons ici, il était temps que cela se matérialise.
Le carnage de zoomers en prévision est assez épique. Les discussions sont très avancées.
Reuters :
Les pays européens discutent de l’envoi de troupes en Ukraine en cas de cessez-le-feu ou d’accord de paix, alors que le président élu des États-Unis, Donald Trump, a clairement indiqué qu’il ne mettrait pas de bottes américaines sur le terrain pour garantir la sécurité, selon des responsables et des diplomates.
Les pourparlers, menés par le président français Emmanuel Macron, n’en sont qu’à leurs débuts, mais ils ont déjà révélé des divergences sur les objectifs et le mandat possibles d’une telle mission – et même sur l’opportunité d’aborder la question aujourd’hui.
Alors que Kiev est en retrait dans la guerre, les dirigeants européens veulent éviter de donner au président russe Vladimir Poutine l’impression qu’ils pensent que le temps des pourparlers est venu et qu’il pourra conserver ses gains sur le champ de bataille. Ils insistent sur le fait qu’ils se concentrent sur l’augmentation de l’aide militaire et économique à l’Ukraine et qu’ils ne voient aucun signe indiquant que M. Poutine est prêt à négocier.
Pourtant, en coulisses, certains fonctionnaires réfléchissent à la manière dont les nations européennes pourraient fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine, notamment par l’envoi de dizaines de milliers de soldats sur le sol ukrainien.
Une telle force augmenterait le risque d’une confrontation directe avec la Russie et mettrait à rude épreuve les armées européennes, dont les stocks d’armes ont été épuisés par les dons à l’Ukraine et qui ont l’habitude de compter fortement sur le soutien des États-Unis pour les grandes missions.
Toutefois, M. Trump a exclu que les troupes américaines jouent un rôle dans l’application d’un cessez-le-feu et a insisté sur le fait que les Européens devraient jouer ce rôle seuls lors des discussions avec M. Macron et le président ukrainien Volodymyr Zelenskiy à Paris le 7 décembre, d’après deux sources.
Cela pourrait signifier que les Européens se déploient en Ukraine, que Kiev obtienne une garantie de sécurité en rejoignant l’OTAN – comme il l’espère – ou par le biais d’assurances bilatérales.
« Même s’il y avait une garantie de sécurité de l’OTAN, d’où viendrait l’impulsion sur le terrain ? Nos chefs d’état-major préparent déjà des plans que les dirigeants européens pourraient envisager à l’avenir », a déclaré un haut fonctionnaire européen.
Les grandes nations européennes telles que la France, l’Allemagne, l’Italie, la Pologne et la Grande-Bretagne pourraient constituer le gros de la force, selon les responsables.
M. Macron a dû faire face à des critiques pour avoir insisté sur cette question, étant donné la sensibilité politique de l’envoi de troupes pour une telle mission.
Après s’être entretenu avec M. Macron la semaine dernière, le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré que Varsovie n’avait pas l’intention de rejoindre une telle force.
Les Polaks ont dit non à Macron lors de son dernier voyage à Varsovie, il y a une semaine.
Bien qu’ils soient les plus grands demandeurs d’une telle intervention, ces cultivateurs de patates n’ont pas tellement envie de mourir pour des Ukrainiens qu’ils considèrent comme leurs domestiques naturels.
Ils veulent bien créer leur Grand Israël polak, mais avec le sang des autres.
Le ministre allemand de la défense, Boris Pistorius, a déclaré lundi que Berlin jouerait probablement un rôle dans la garantie d’un cessez-le-feu, mais qu’il était bien trop tôt pour dire quel type de force serait nécessaire.
M. Zelenskiy a déclaré que la question pourrait être soulevée lorsque le chef de l’OTAN, Mark Rutte, recevra le président ukrainien et d’autres dirigeants européens à Bruxelles mercredi soir.
Mais M. Rutte a déclaré la semaine dernière qu’il avait demandé à ses collègues de l’OTAN et de l’Ukraine « d’être un peu plus discrets » lorsqu’ils évoqueraient les scénarios futurs.
« En ce moment, si vous discutez de tout cela au grand jour, pourquoi Poutine se mettrait-il à table, parce qu’il obtient ce qu’il veut », a déclaré M. Rutte.
Selon les analystes, le débat a jusqu’à présent révélé une certaine confusion quant à savoir si une future mission européenne assumerait un rôle traditionnel de maintien de la paix, tel que la surveillance d’une ligne de cessez-le-feu, ou si elle fournirait une force de dissuasion solide contre toute nouvelle attaque de la Russie.
Les responsables italiens ont parlé de maintien de la paix, tandis que les responsables français et ukrainiens ont mis l’accent sur la dissuasion.
« Dissuasion » signifie que ces troupes ont vocation à riposter en cas « d’incident », c’est-à-dire de reprendre les hostilités.
Tout est clair comme de l’eau de roche. À la minute où ces troupes seraient sur place, la CIA organiserait une provocation pour la reprise des hostilités avec un rapport de force que l’OTAN espèrerait plus favorable grâce à ces troupes européennes. Ensuite, l’Amérique serait contrainte d’intervenir que Trump l’accepte ou non.
C’est le plan depuis le début.
Macron est mandaté pour faire le pont entre Zelensky et Trump afin d’endormir ce dernier et l’entraîner dans l’escalade.
Une force de dissuasion pourrait être formée par une coalition de cinq à huit pays, a déclaré un responsable ukrainien au courant de certaines des discussions.
Les analystes et les fonctionnaires ont donné des estimations variables de la taille d’une telle force, soulignant qu’elle dépendrait en grande partie de sa mission précise. Certains analystes ont suggéré qu’une force d’environ 40 000 hommes serait envisageable.
Selon Franz-Stefan Gady, un ancien planificateur militaire autrichien qui travaille actuellement à l’Institut international d’études stratégiques, dans le cadre d’un système de rotation où les unités se prépareraient à être déployées et se reconstitueraient après un déploiement, quelque 100 000 soldats pourraient être impliqués dans la mission à tout moment.
Un responsable européen de la sécurité, s’exprimant sous le couvert de l’anonymat, a également déclaré que jusqu’à 100 000 soldats pourraient être nécessaires.
M. Gady a déclaré qu’une telle force pourrait être générée si certains pays européens réduisaient leurs autres missions, telles que le maintien de la paix dans les Balkans.
L’Europe, les États-Unis et d’autres partenaires ont déployé quelque 60 000 soldats en Bosnie et 50 000 au Kosovo dans les années 1990, mais ces missions sont aujourd’hui beaucoup moins importantes.
La composition d’une force internationale, dont le mélange de nations devrait être acceptable pour les deux parties, et son mandat font également l’objet d’un débat.
Le ministre italien de la défense, Guido Crosetto, a déclaré qu’elle devrait être placée sous les auspices des Nations unies. Mais d’autres responsables estiment que cela donnerait trop d’influence à la Russie, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU.
Les Européens devraient également persuader les États-Unis de s’impliquer d’une manière ou d’une autre, au moins en fournissant des renseignements et d’autres formes d’aide opérationnelle, selon les analystes.
Les règles d’engagement potentielles font partie des nombreuses questions cruciales qui restent floues.
« Que se passerait-il si un soldat européen se faisait tirer dessus ? » a demandé un responsable militaire français.
Et bien il recevra l’ordre de riposter et sera éliminé par tir d’artillerie russe, ce qui servira ensuite au cartel médiatique démocratique pour justifier l’ouverture des hostilités entre l’OTAN et la Russie.
Ce plan est identique à celui mis en place lors des discussions de Minsk, mais aussi à Idlib : gagner du temps, regrouper les forces, réarmer, acheminer des renforts, repartir à l’attaque.
Je n’imagine pas Poutine faire preuve d’une telle naïveté après s’être fait rouler deux fois de suite de cette façon, mais l’OTAN estime que si les Russes sont tombés deux fois dans un piège aussi grossier, il n’y a pas de raison qu’ils ne le fassent pas une troisième fois.
En tout cas, ils sont décidés à essayer.
Pour les juifs, il ne s’agit pas de déployer 100,000 hommes, mais autant de soldats que nécessaire pour conquérir la Russie après avoir brisé son armée de terre en Ukraine. Comme en Syrie, ils escomptent acheter officiers et cadres de l’État russe pour qu’ils n’opposent aucune résistance en échange de leur recyclage dans la « Russie démocratique » sous la botte juive.
Les juifs ne vont pas renoncer aux ressources russes sans une perdre une guerre mondiale. Les démocraties sont insolvables, la seule façon d’échapper à une révolution est de se refaire par le pillage et d’encercler la Chine.
Si Macron parvient à ses fins, nous devrions voir des scènes de type ukrainien d’ici quelques temps dans les rues françaises – mais seulement pour les Blancs.
Voluntary mobilisation in Ukraine part 6756: pic.twitter.com/XiJD7Q4wbM
— Mats Nilsson (@mazzenilsson) November 29, 2024
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