Meloni prête à reconnaître le régime djihadiste syrien

La Rédaction
Démocratie Participative
18 décembre 2024

Comme Macron, Meloni est déjà affairée à normaliser le régime djihadiste syrien.

Anadolu Agency :

Le Premier ministre italien Giorgia Meloni a déclaré mardi que son gouvernement était prêt à s’engager avec les nouveaux dirigeants de la Syrie après la chute du régime Assad, ajoutant qu’il jugerait les nouvelles autorités syriennes sur leurs actions.

Elle a ajouté que l’engagement serait évidemment mené « dans le contexte d’évaluations et d’actions partagées avec les partenaires européens et internationaux ».

Le premier ministre italien a noté que l’élément décisif sera l’attitude à l’égard des minorités ethniques et religieuses.

« Les premiers signes semblent encourageants, mais la plus grande prudence s’impose. Les paroles doivent être suivies d’actes et nous jugerons les nouvelles autorités syriennes sur leurs actes », a ajouté M. Meloni.

Affirmant qu’il ne devrait pas y avoir de place pour Daesh/ISIS et de nouvelles cellules terroristes en Syrie, elle a indiqué que l’Italie soulèverait la question lors du prochain sommet des dirigeants de l’UE, qui se tiendra cette semaine à Bruxelles.

Meloni se livre à d’inavouable tractations avec les Ottomans depuis qu’elle est au pouvoir.

L’Italie est un état si faible qu’il doit mendier leur soutien pour ne pas être submergée de hordes de musulmans. Ce que le Sultan monnaie selon son humeur, très changeante.

Ces états fantoches de l’UE ne mettent pas longtemps à s’aligner sur les orientations israélo-américaines et turques.

L’ordre a été donné par Washington de soutenir le régime djihadiste de Damas. Après 14 ans de djihad continu en Syrie, cela a pris moins d’une semaine pour que les démocraties proclament que les djihadistes d’Al Qaeda étaient en fait de jeunes étudiants en droits de l’homme qu’il fallait aider financièrement.

Nous allons déjà verser 1 milliard d’euros au Sultan pour le féliciter de cette conquête de Damas grâce à ses égorgeurs.

Ces relations sont importantes.

Nos relations économiques se renforcent d’année en année.

Et la Turquie reste un partenaire clé en matière de migration.

Un milliard d’euros supplémentaire pour 2024 est en cours d’acheminement pour soutenir les efforts de la Turquie en matière d’accueil des réfugiés syriens.

Erdogan n’est lui-même qu’un vassal des États-Unis et il ne peut rien faire sans leur autorisation.

Et derrière eux, la véritable puissance. Les juifs sont en contact avec HTS (Al Qaeda) depuis longtemps et ont soutenu leur offensive contre Damas, puis ensuite contre le Liban.

Les politiciens fantoches d’Europe espèrent qu’Erdogan et le Qatar fourniront le gaz dont la guerre faite à la Russie les prive.

L’Europe démocratique préfère de loin le fondamentalisme musulman à la Russie.

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