La Rédaction
Démocratie Participative
21 décembre 2024
Avouez que personne ne s’attendait à ce retournement.
Les juifs menacés d’être arrêtés à Auschwitz sur ordre du tribunal de Nuremberg, c’est un sacré rebondissement.
Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, ne participera pas à un événement marquant le 80e anniversaire de la libération du camp de concentration d’Auschwitz en Pologne, de crainte qu’il ne soit arrêté et remis à la Cour pénale internationale (CPI), ont rapporté les médias polonais.
Wladyslaw Bartoszewski, vice-ministre polonais des affaires étrangères, qui organise la cérémonie, a déclaré au journal polonais Rzeczpospolita que Varsovie s’engageait à respecter les décisions de la CPI.
Le mois dernier, la Cour de La Haye a émis des mandats d’arrêt à l’encontre de M. Netanyahou et de Yoav Gallant, l’ancien ministre israélien de la défense.
Les deux hommes sont accusés du « crime de guerre de famine en tant que méthode de guerre et des crimes contre l’humanité de meurtre, de persécution et d’autres actes inhumains » pendant la guerre qu’Israël mène actuellement contre Gaza, depuis les attaques menées par le Hamas le 7 octobre.
Les juifs sont effectivement des criminels
Les 124 membres du Statut de Rome, le traité qui a institué la CPI, sont désormais tenus d’arrêter les deux dirigeants israéliens et de les remettre à la Cour. La Pologne fait partie des signataires.
Selon Rzeczpospolita, M. Netanyahou et le président israélien Isaac Herzog ne devraient pas assister à la cérémonie du 27 janvier à Auschwitz. Le ministre israélien de l’éducation, Yoav Kisch, devrait être présent.
Plusieurs signataires, dont les Pays-Bas, la France, le Royaume-Uni, l’Irlande et la Belgique, ont indiqué qu’ils respecteraient la décision de la CPI.
Toutefois, la France a déclaré par la suite qu’elle pensait que M. Netanyahu était couvert par l’immunité en tant que chef de gouvernement en exercice parce qu’Israël n’est pas membre de la CPI, bien que des experts juridiques internationaux aient rejeté cette interprétation.
La CPI ne dispose pas de pouvoirs d’exécution, mais compte sur la coopération des États membres pour arrêter et remettre les suspects.
C’est une grosse affaire, car Auschwitz est l’épicentre de la propagande juive internationale. C’est un lieu incontournable de la religion des démocraties, mais aussi le mythe fondateur de l’entité sioniste. Les juifs commettent à peu près tous les crimes qu’ils veulent grâce à ce lieu mythologique.
Voir le roi des juifs en être interdit d’accès sous menace d’arrestation est très significatif.
L’impunité des juifs s’érode à la vue des crimes à grande échelle qu’ils commettent en Palestine et ailleurs. Et notez que c’est en Europe où les juifs exercent pourtant une formidable influence.
Imaginez dans le reste du monde.
Auschwitz, ce n’est pas sérieux
La prison d’Auschwitz n’a jamais été une usine à gazer des philanthropes juifs, mais un vaste complexe industriel destiné à l’effort de guerre allemand.
Il n’y avait d’ailleurs pas un camp, mais plusieurs auxquels étaient adjoints un grand nombre d’usines. Le nec plus ultra de la technologie de l’époque.
Comme les juifs sont des terroristes et des espions nés, les Allemands avaient judicieusement décidé de les retirer de la société pour les mettre au travail dans cette prison, ainsi que dans d’autres.
Les conditions étaient spartiates, mais celles sur le Front de l’Est l’étaient infiniment plus pour le soldat allemand. C’était donc un geste d’une incroyable générosité que de leur accorder un toit sur la tête. D’ailleurs, les baraquements de cette prison d’Auschwitz étaient chauffés. Les cheminées en briques sont encore visibles.
Et bien sûr, il y avait des endroits de loisir, comme la piscine.
À Auschwitz, il y avait des prisonniers de guerre, en plus des juifs. Les Gallois avaient par exemple leur propre équipe de football.
Enfin, les juifs avaient diverses activités, y compris des orchestres de musique classique pour tuer le temps.
Ce que les juifs montrent depuis 80 ans, c’est la morgue de la prison qui était équipée d’un système de crémation pour traiter les corps des malades décédés en cas de pandémie. Autrement dit, ces fours servaient à protéger les prisonniers.
Pour cette ville qu’était la prison d’Auschwitz, il y avait un total de 25 fours individuels. En cas d’épidémie soudaine, quelques centaines de corps de malades décédés devaient pouvoir être rapidement incinérés pour contenir l’infection qui, sinon, pourrait devenir hors de contrôle et tuer les prisonniers, mais aussi le personnel de la prison.
Avec une température de 700 degrés environ pour ce type de fours au coke, il aurait fallu 15 ans pour incinérer un million de corps sans aucune interruption.
Personne doté d’un cerveau fonctionnel ne peut sérieusement croire aux affabulations de ces juifs après avoir pris une ou deux heures d’analyse critique de toute l’affaire.
C’est simplement idiot.
Les juifs le savent et font arrêter tous ceux qui disent que c’est idiot.
La série de Vincent Reynouard sur le sujet mérite d’être visionnée, ce n’est pas si long et cela permet de passer en revue dans le détail les affabulations outrancières de ces juifs à propos de ce centre de rééducation par le travail.
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