La Rédaction
Démocratie Participative
19 décembre 2024
Il y avait des indices
Macron est si ouvertement homosexuel que lui et sa bande de fiottes en rigolent eux-mêmes.
Le Monde :
Le « boys club » a installé au palais une atmosphère de chambrée. Avec eux, on est loin du sacré et de la transcendance…
Le soir venu, le président les retrouve pour se distraire après des journées harassantes. « Petit pédé », « grande tarlouze »… Voilà comment ils se parlent, par textos ou autour de leurs whiskys japonais ou écossais – le favori du président est le Lagavulin 16 ans d’âge –, entre deux imitations d’acteurs des années 1960 et de citations de Michel Audiard.
Du « 15 000e degré », explique Jonathan Guémas, embarrassé. Ils ont quelques cibles préférées. Conseiller de Gabriel Attal quand il était premier ministre, Louis Jublin assure que l’Elysée avait baptisé Matignon « la cage aux folles ».
C’est pour rire.
On va quand même faire arrêter ceux qui en parlent un peu trop.
Une première audience est fixée au 10 juillet 2025. Jeudi 12 décembre, le parquet de Paris a annoncé un coup de filet dans l’affaire du cyberharcèlement transphobe de Brigitte Macron.
L’enquête, qui fait suite à une plainte déposée par la première dame le 27 août dernier, portait sur des faits de cyberharcèlement et de provocation à commettre une infraction. Elle avait été confiée par le pôle national de lutte contre la haine en ligne à la brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) et avait permis de mettre au jour «de nombreux propos malveillants portant sur le genre, la sexualité de Brigitte Macron ainsi que la différence d’âge avec son conjoint, selon un angle l’assimilant à la pédophilie», a précisé le parquet.
Une annonce qui fait suite à la mention de plusieurs gardes à vue dans la sphère complotiste, relayées la veille et plus tôt dans la journée sur les réseaux sociaux. Ainsi, avant que le parquet de Paris ne communique, l’avocat Juan Branco affirme sur X, le 11 décembre en fin de matinée, qu’Aurélien Poirson-Atlan, «le créateur de Zoé Sagan», «est privé de sa liberté depuis hier à Arles, sur instruction et ordre de Paris. La loi Schiappa contre le “cyberharcèlement”, promue au nom des personnes fragiles, est une nouvelle fois utilisée par le pouvoir pour enfermer quelqu’un.»
Petit pédé et grande tarlouze
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