La Rédaction
Démocratie Participative
10 décembre 2024
La rébellion a tenté une opération contre les positions du régime à Poitiers !
Poitiers: un projet d’attentat déjoué grâce à la surveillance des messageries cryptées pic.twitter.com/6L4OnHkcqC
— BFMTV – Matinale (@PremiereEdition) December 9, 2024
France 3 tente de limiter les dégâts :
Il faudra que les journalistes de France 3 expliquent ça aux bougnoules.
Trois jeunes, âgés de 19 et 20 ans, sont accusés d’avoir fomenté un attentat. Ils ont été arrêtés à Nîmes et à Nantes, mis en examen puis écroués.
Un nouveau signe, s’il en fallait, que la menace terroriste islamiste n’a pas disparu. Samedi 7 décembre, trois jeunes ont été mis en examen pour avoir projeté une action violente en France, indique le Parquet national antiterroriste (Pnat) au Figaro, confirmant les informations du Parisien .
Les trois suspects sont âgés de 19 ans à 20 ans, l’un est étudiant en chimie, un autre en informatique. Selon nos informations, deux mis en cause ont été arrêtés à Nantes et sont français d’origine maghrébine, tandis qu’un troisième suspect interpellé à Nîmes est d’origine mahoraise et ancien velléitaire pour un départ en Syrie. Enfin, l’un des trois serait le fils d’un imam aumônier en prison, indique une source proche de l’enquête au Figaro. Leurs avocats, Mes Seydi Ba, Sipan Ohanians et Ambroise Vienet-Legué, n’ont pas souhaité faire de commentaires.
Notez que dans le lot se trouve un des électeurs fétiches de Marine Le Pen.
Selon nos informations, ils sont accusés d’avoir fomenté un attentat en commandant puis en réceptionnant du matériel servant à confectionner des engins explosifs. L’un des trois avait acheté des colis d’acide en novembre dernier. Ils avaient pour projet de fabriquer du TATP. Leur projet était relativement bien avancé puisqu’ils auraient procédé à des essais dans la chambre de l’un d’eux. En parallèle, ils échangeaient régulièrement sur les réseaux sociaux via des messageries cryptées, indique une source proche du dossier au Figaro.
La mairie de Poitiers figurait parmi les cibles envisagées par les suspects, radicalisés autour de thèses djihadistes. Les jeunes auraient ainsi voulu attaquer cette mairie en raison de la symbolique bataille de Poitiers, en 732, où Charles Martel a battu des troupes arabo-berbères. Le siège de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a aussi pu être évoqué. Mais la cible n’était pas clairement établie, nous précise-t-on.
Après leur garde à vue à la DGSI, ils ont été mis en examen pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et écroués. Deux d’entre eux sont aussi poursuivis pour fabrication non autorisée d’engin explosif et pour détention et transport de substance ou produit incendiaire ou explosif, précise le Pnat. Ils ont été arrêtés dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte le 20 novembre. Les investigations sont désormais confiées à des magistrats instructeurs.
La « menace djihadiste représente 80 % des procédures » diligentées par le Pnat, a rappelé mi-septembre le procureur Olivier Christen. « Au premier semestre 2024, il y avait eu à peu près trois fois plus de procédures » de ce type que sur la même période en 2023, a-t-il ajouté. Cet accroissement s’explique d’après lui par le « contexte géopolitique », mais aussi par « la reconfiguration, notamment en Afghanistan », du groupe État islamique.
Ils n’ont encore rien vu.
Avec Damas aux mains d’Al Qaeda et consorts, nous avons désormais un état djihadiste en voie de formation sur les bords de la Méditerranée appuyé par un état de l’OTAN, la Turquie. Rappellons au passage que le Bataclan a été une opération du renseignement turc réalisée par l’intermédiaire de djihadistes recrutés en Syrie et ailleurs.
À l’époque, Erdogan était mécontent du lâchage des USA et de la France dans son entreprise de renversement de Bachar al Assad et s’était vengé des mécréants perfides.
La création de cet état salafiste veut dire que des ressources humaines, financières, techniques et diplomatiques seront assignées pour mener des opérations sophistiquées partout où le djihadisme global veut opérer.
L’Europe de l’Ouest étant le ventre mou du monde blanc et la France étant le ventre mou du ventre mou, on sait déjà où les startupers du Califat vont ouvrir boutique.
Personne ou presque ne mesure ce qui vient de se passer en Syrie.
Pour le coup, c’est maintenant qu’il faudrait mettre sur pied une armada afin de reprendre Damas des mains de ces fanatiques. Ou mieux, la vitrifier.
Évidemment, pour une fois qu’une telle campagne militaire serait justifiée, aucune démocratie occidentale ne bougera, bien au contraire.
Le ramadan 2025 s’annonce particulièrement islamique.
Un passage bien mené par @CasusLady face à une haineuse très représentative de sa secte….
Et on nous demande de vivre avec ces gens ??? sans moi …… jamais de la vie ! pic.twitter.com/fCof4aIod2— ALL-F 🇫🇷✞ ☧ ☥ (@Flasholl1) December 9, 2024
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